Pour les titres suivants afin de permettre une meilleure
lisibilité sur le blog, je vous propose de cliquer sur l'image du bouquin si vous désirez accéder à la fiche complète du livre.
Yegg
Autoportrait d'un honorable hors-la-loi
(biographie)
C'est excellent, décalé, parfois irréel et très drôle. Un pur moment de plaisir à
venir. Voilà une vraie recommandation de lecture.
Rengaine (suivi de) Sept secondes avec le
soleil
(poésie)
Belle découverte qui demande à découvrir d'autres titres.
Juste un regard
(policier)
On est dans la "grosse cavalerie" du polard, au sens où l'auteur planté dans son
propre style arrive encore à vos surprendre, voir à vous saisir, un de mes préféré de Coben après Une chance de trop.
Collection de
sombreros
(micro fiction)
Poète de l'ordinaire sachant mettre les petits plats dans les grands sans que l'on
s'en apperçoive, nous sert ici des entremets à mettre sous toutes les dents...
Les cloches de La Brésilienne
Prix littéraire des Caraïbes 2008
(roman)
Gary Victor est l'auteur francophone haîtien et l'auteur caraïbéen vivant le plus
connu en Europe. Voici le premier bouquin de lui que j'ai lu, et à dire vrai, il m'a bien surpris. Dans un genre bien à lui, il nous restitue via un protagoniste improbable une réalité d'haïti
que peu sont capables de nous dévoiler sans servir du cliché.
D'ailleurs ne dit-on pas en librairie "Si tu veux découvrir un pays, n'achète
pas un guide mais lis un policier !" Ce qui n'est pas faux, vous pouvez le vérifier avec quasiment tous les contemporains en polard.
Bref, ce Gary Victor là, vaut vraiment le coup, dépaisement garantit
!
Banal oubli
(roman)
J'aime beaucoup l'écriture et le travail de Gary Victor, mais ce titre-ci je ne
vous conseillerais pas cette lecture, même si j'avoue bien ne pas en être arrivé à bout. À dire vrai je n'ai jamais pu y rentrer, et l'ai abandonné avec grand plasisir et sans
remord.
Tentez, toutefois, votre chance si vous êtes des fous d'enchassement et autres
subtilité narrative propre au travail d'écriture...
Dormir dans les décombres
(poésie micro-fiction)
Travailleur inlassable du quotidien, nous offre encore de juteux moments de bonheurs
simples.
Le couloir de la mort
(policier)
On entre peut-être pas dessuite dans le bouqin, mais ça vaut le coup de persévérer.
John Grisham égal à lui-même, très documentés. Forcément du lourd. Tout est dit ou presque dans la photo de couverture choisie par Pocket.
Sous vide
(Journal de bord/témoignage)
Surprenante lecture d'un monde qui nous reste étranger jusqu'à la fin, mais
dont se doute à peine de totu ce que cela peut impliquer. Témoignage juste, sans fioriure ni pathos. À découvrir.